Proie ou prédateur, l'atavisme est là. Les gestes se font imperceptibles, le soufflle court.
L'animal n'a rien decelé, il est là a portée de main.
Sa proximité est telle que le bruit furtif de ses pas est audible. Tout semble figé, au loin des aboiements, une cloche sonne; qu'importe il ne reste plus que ce face à face, ce retour au temps primitif.
Le passage dans le monde sauvage s'est effectué, monde parallèle avec ses instants de douceur ou de brutalité. Là est la quintessence de la chasse photographique.
La partie est gagnée, afin presque! Maudits ingénieurs nippons qui se sont crus obligés de rendre les déclenchements bruyants.....
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